Ces dernières années, l’engouement des Français pour l’investissement ne cesse de croître. Il suffit de regarder l’émergence de centaines de communautés en ligne autour de l’immobilier, de la bourse ou encore des crypto-monnaies. Sur YouTube, Instagram, TikTok ou LinkedIn, certains créateurs rassemblent des dizaines de milliers de personnes avides de conseils, de retours d’expérience et d’opportunités concrètes.
Mais cet intérêt massif pour les contenus ne se traduit pas toujours par un passage à l’action. Beaucoup consomment, apprennent, commentent… sans jamais investir. Le gap entre l’audience active et le nombre réel d’investisseurs est encore grand, notamment dans l’immobilier. Pourquoi ? Parce que certains freins persistent : si l'intérêt est réel, le passage à l'acte reste souvent bloqué par des doutes, des contraintes personnelles ou un besoin d'encadrement plus concret.
Face à cela, certains leaders de communauté ont développé des offres de coaching ou d’accompagnement. Mais cela ne suffit pas toujours. Il existe une autre voie, plus concrète, plus engageante : permettre à sa communauté d’investir directement à ses côtés, dans un cadre structuré.
Plutôt que de se limiter à l’éducation ou à la transmission, ces leaders créent des véhicules d’investissement dans lesquels leur communauté peut s’impliquer financièrement. C’est une façon d’activer la puissance collective, pour faciliter le passage à l'action via des solutions concrètes, d’aligner les intérêts entre celui qui porte le projet et ceux qui le soutiennent, tout en diluant le risque.
Une nouvelle ère du leadership communautaire, où l’on ne se contente plus de partager : on agit ensemble.
L’appétence pour l’investissement est là. Mais entre l’envie et la mise en œuvre, il y a un décalage. Ce n’est pas seulement une question d’information ou de pédagogie : ce sont souvent des freins concrets qui bloquent le passage à l’action.
Peur de se tromper, sentiment d’isolement, manque de repères fiables, difficulté à identifier des opportunités de qualité, à mobiliser seul les fonds nécessaires… ou tout simplement à dégager le temps nécessaire pour s’en occuper sérieusement. Autant d’obstacles qui ralentissent l’engagement. Surtout pour celles et ceux qui débutent. Le parcours de l’investisseur individuel peut vite sembler complexe et risqué.
Les chiffres de l’AMF sont parlants : en 2023, un Français sur deux s’est dit intéressé par l’investissement, mais seulement 10 % sont réellement passés à l’acte. Et parmi eux, plus d’un tiers n’ont pas renouvelé l’expérience. Ces données traduisent un besoin de cadre, de réassurance, et de solutions plus concrètes.
Paradoxalement, plus une communauté est importante, plus l’effet d’inertie peut être fort. L’intérêt collectif est réel, les contenus sont largement consommés, mais le saut individuel reste difficile. Beaucoup apprécient, commentent, participent aux webinaires… sans jamais franchir le cap.
C’est dans ce contexte qu’un nouveau rôle émerge pour les leaders de ces communautés : celui de facilitateur. Pas uniquement dans l’éducation ou le partage de savoir, mais en créant les conditions du passage à l’acte. En structurant des dispositifs d’investissement accessibles, en clarifiant les règles du jeu, et en jouant un rôle d’entraîneur.
Cette posture change la donne. Elle transforme un élan diffus en dynamique concrète. L’investissement n’est plus une aventure solitaire : il devient une démarche collective. Et pour beaucoup, c’est exactement ce qu’il fallait pour oser se lancer.
Certains leaders de communauté ne se contentent plus de transmettre leur savoir. Ils créent des solutions concrètes pour permettre à leur audience de passer à l’action dans un cadre structuré. C’est l’approche choisie par Tokimo, cofondée par Matthieu Degli Innocenti et Christopher Wangen, l’un des influenceurs les plus suivis sur les sujets immobiliers en France.
Christopher Wangen a su bâtir une relation de confiance forte avec son audience. En 2022, il lance Tokimo pour proposer une continuité logique : une plateforme d’investissement immobilier à partir de 100 €, pensée pour ceux qui souhaitent aller plus loin.
En deux ans, Tokimo a permis de financer 45 projets, pour un total de 21,6 millions d’euros collectés, avec des rendements visés autour de 11 à 12 %. L’idée n’est plus seulement de former ou d’inspirer, mais de rendre possible un passage à l’investissement pour des milliers de personnes, en mutualisant les moyens et en réduisant les barrières d’accès.
Le rôle de Christopher dépasse celui d’un conseiller ou coach : il structure le passage à l’acte via un dispositif complet, où ses conseils et son expertise mènent directement à des offres d’investissement accessibles. Il n'est plus simplement un influenceur : il devient facilitateur actif, organisant des événements (club deals, sessions de présentation, cohortes d’investisseurs) qui créent un véritable élan de groupe.
Pour la communauté, c’est une transition forte : passer d’une consommation passive à un investissement encadré, dans un cadre de confiance et avec un ticket d’entrée accessible. Les retours sont probants : Tokimo mobilise une base de 20 000 investisseurs.
Et pour les leaders, l’intérêt est double : cette posture renforce leur légitimité tout en leur permettant d’avoir un impact concret. Ils deviennent le centre d’un système vertueux capable de générer des flux financiers pour leurs projets, tout en conservant la cohérence de leur message et leur culture de communauté.
Ce modèle ouvre une nouvelle voie : celle d’un investissement collectif facilité par un cadre clair, une pédagogie forte et une plateforme maîtrisée.
Les plateformes d’investissement communautaire et les clubs deals ne sont pas uniquement des outils de mobilisation. Ce sont avant tout des réponses concrètes à des freins structurels qui ralentissent ou empêchent le passage à l’acte, même chez des personnes motivées.
Manque de temps pour tout faire soi-même : analyser des projets, vérifier les montages juridiques, comparer les opportunités… tout cela prend du temps. Un temps que la majorité des particuliers n’ont pas à consacrer sérieusement à la construction d’un portefeuille. Un dispositif collectif permet de déléguer une partie de cette charge d’analyse : les projets sont présélectionnés, structurés, documentés.
Inquiétude de faire des erreurs seul : investir seul, c’est aussi porter seul la responsabilité de ses choix. Le cadre collectif apporte une forme de réassurance. Même si chaque investisseur reste libre et responsable, le fait de rejoindre un projet porté par un groupe, et validé par un tiers identifié, réduit le sentiment d’isolement. Cela peut suffire à lever une hésitation tenace.
Montants à mobiliser et accès restreint aux projets : un des freins majeurs reste l’accès aux bonnes opportunités. Seuls, beaucoup ne peuvent pas accéder à des opérations intéressantes, faute de réseau ou de moyens. La mutualisation dans un club ou une plateforme permet de participer à des projets de plus grande envergure, à partir de tickets bien plus abordables.
Manque de clarté dans les cadres d’investissement : beaucoup de particuliers se méfient des investissements en direct en raison d’un manque de lisibilité : documents incomplets, statuts flous, partenaires inconnus… Cette opacité crée un frein réel, notamment chez les primo-investisseurs. L’absence d’un cadre structuré rend difficile la prise de décision sereine.
Difficulté à accéder à un accompagnement adapté : tout le monde n’a pas besoin d’un suivi intensif, mais l’absence totale d’accompagnement peut freiner le passage à l’acte. Quand aucune explication, aucun temps d’échange ou aucun espace de discussion n’est prévu, cela renforce le sentiment de naviguer seul. Cette solitude face à l’investissement reste un frein sous-estimé.
Peu de solutions pensées pour une montée en engagement progressive : certains voudraient investir, mais sans s’engager immédiatement sur des montants élevés ou des dispositifs complexes. Or, la plupart des opportunités sur le marché ne laissent pas place à une montée en puissance graduelle. Ce manque de progressivité bloque ceux qui auraient pourtant la volonté de commencer petit, puis d’approfondir par la suite.
Proposer un dispositif d’investissement à sa communauté, ce n’est pas seulement un acte altruiste ou une nouvelle manière d’engager les membres. C’est aussi, pour celui ou celle qui en prend l’initiative, un levier de légitimité, de structuration et de projection à long terme.
D’abord, c’est une manière forte d’ancrer sa légitimité. En passant du statut de “personne qui sait” à celui de “personne qui agit”, il renforce sa crédibilité. Il ne se contente plus de partager une vision : il propose un cadre pour la concrétiser. Cela ancre son discours dans le réel, et attire naturellement des profils plus engagés, prêts à suivre.
Ensuite, c’est une forme d’indépendance stratégique. En structurant son propre club deal ou sa propre plateforme, le leader ne dépend plus uniquement des offres de tiers ou des partenariats commerciaux. Il crée son propre canal d’action, son propre cadre de valeur. Cela lui permet aussi de choisir les projets qu’il veut défendre, et de le faire à sa manière.
C’est aussi un levier de diversification : en co-investissant dans les opérations qu’il propose, le leader aligne ses intérêts avec ceux de sa communauté. Il développe une activité complémentaire à sa posture de créateur de contenu, de formateur ou d’influenceur. Une activité qui peut générer des revenus, mais aussi une satisfaction plus grande : celle de contribuer concrètement à la réussite des autres.
Enfin, c’est un moyen de structurer son action dans le temps. Une communauté engagée autour d’un projet d’investissement ne s’épuise pas comme une audience volatile. Elle se fidélise, elle se transforme, elle grandit avec les projets. Et cela donne une tout autre densité au rôle de leader.
Le bénéfice est donc double : plus d’impact pour les membres, et plus de cohérence pour le leader.
Ce qui fait la force d’une communauté comme Kapi Club aujourd’hui, c’est leur capacité à avoir structuré un parcours d’investissement digitalisé, fluide et accessible. Grâce à leur plateforme en ligne, ils peuvent accueillir un grand nombre de souscripteurs sans friction, tout en maintenant un haut niveau de professionnalisme.
Plus besoin de gérer chaque onboarding de manière artisanale : tout se passe en ligne, de la présentation de l’offre jusqu’à la signature. Les investisseurs disposent d’un espace personnel pour suivre l’évolution de leurs souscriptions, accéder à leurs documents et visualiser les performances de leurs placements. Cette transparence renforce la confiance et incite à l’engagement dans la durée.
Ce type de parcours est aujourd’hui de plus en plus facile à mettre en place grâce aux acteurs spécialisés dans ce type de plateforme. Il est possible de développer une solution sur mesure ou de s’appuyer sur une technologie clé en main, déjà pensée pour répondre aux exigences légales et opérationnelles, et deployable dans un court délai.
C’est exactement ce que permet Fraktion, avec une approche qui combine accessibilité tarifaire, flexibilité d’adaptation aux spécificités du porteur de projet, intégration de technologies récentes comme le KYC automatisé ou la tokenisation, et une interface moderne avec une UX fluide. Le tout au service d’une expérience d’investissement claire, efficace et engageante, tant pour celui qui propose le projet que pour ceux qui y participent.
À la clé : un vrai gain de temps, une montée en qualité perçue… et surtout, la possibilité d’ancrer une relation durable avec sa communauté, projet après projet.
Kapi Club n’est pas un cas isolé. D’autres leaders du monde de l’investissement ont eux aussi structuré des modèles qui vont bien au-delà du contenu gratuit ou de la formation. Yann Darwin, avec le groupe Greenbull, a contribué à démocratiser l’accès à des opérations immobilières en rassemblant une large communauté d’investisseurs.
Ces initiatives montrent que le modèle communautaire prend des formes variées : ouvert ou exclusif, immobilier ou tech, initié par des formateurs ou des entrepreneurs. Mais toutes partagent une même logique : faire de l’investissement une expérience concrète, fluide et encadrée.
Elles illustrent surtout un changement plus profond. Le leadership ne se mesure plus seulement à l’audience ou à l’expertise perçue. Il s’incarne dans la capacité à structurer des opportunités tangibles, à engager sa communauté dans l’action.
Et c’est précisément ce que permet le digital. Avec les plateformes d’investissement personnalisées, les leaders peuvent aujourd’hui aligner fond et forme, faciliter le passage à l’acte… et fédérer leur communauté sur le long terme.
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